Ou comment Madame la Maire travestit la vérité…
Décision maladroite de vouloir supprimer l’association de tennis loisir dès juin 2009 au motif d’une réfection de courts de tennis qui n’a débuté qu’en mai 2011 ?
Non, l’association n’a pas décidé, elle a été contrainte. Quand une association tennis est privée de court elle se bat ou disparaît. Les adhérents ont choisi la première solution.
L’association n’a réclamé que 5000 € pour indemnisation du préjudice causé. Mais elle s’était engagée d’en reverser le montant à des associations sportives en direction de la jeunesse.
Mais, Mme le Maire, il fallait faire appel ! Sur une décision maladroite vous étiez certaine de gagner et de faire économiser à la collectivité 2 000 € auxquels vous « oubliez » les 1 200 € que le juge des référés vous a contraint à verser quand l’association dans un premier temps s’est opposée à votre décision. A ces sommes s’ajoutent les frais d’avocat de la commune. Quel gâchis !