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25 juin 2011 6 25 /06 /juin /2011 15:52

cartoon 148Lors du conseil communautaire du 14 juin dernier, les délégués des cinq communes de la Communauté de Communes des Coteaux Bellevue « CCCB » se sont très majoritairement prononcés contre le souhait des élus de Castelmaurou de vouloir quitter cette intercommunalité pour entrer dans la Communauté de Communes des Coteaux du Girou. Seuls en effet les délégués de Castelmaurou ont voté pour ce départ. MM Durand et Dinse, absents avaient donné des pouvoirs.

A cette même séance, une autre délibération concernait l’approbation ou le rejet du projet de schéma départemental de coopération intercommunale de la Haute-Garonne présenté par M. le Préfet, projet qui inscrivait la demande de Castelmaurou de changer d’intercommunalité et qui rationalisait, de ce fait, la carte des syndicats mixtes et de communes (eau, électricité, voirie…). Dans les mêmes proportions de vote et logiquement, la proposition de M. le Préfet a été rejetée par les membres du Conseil communautaire à l’exception des élus de Castelmaurou qui ont approuvé le projet préfectoral.

 Incroyable mais tristement vraie, la position des délégués de Castelmaurou au conseil syndical du Syndicat Intercommunal des Eaux du lendemain 15 juin. Ils avaient à se prononcer sur cette même question et là… surprise… ils ont voté contre le projet de schéma de M. le Préfet !

Hé oui ! L’un des deux délégués était M. Durand qui la veille votait pour.

Dissidence en l’absence de Mme le Maire, manque de courage, défaillance intellectuelle, incompréhension du texte, intérêt personnel ? On ne sait pas.

Cette inconstance de vote - et le mot est courtois - sur une question identique posée à 24 h d’intervalle, pourrait prêter à sourire si ce n’est que ces mêmes élus, dont M. Durand, prennent aussi, par leur participation au vote du conseil municipal, des décisions qui engagent notre commune pour des années : budget, investissements, PLU, gestion du personnel…Quelle légitimité et quelle crédibilité peuvent-ils encore avoir après de tels agissements ?

 Pour notre part, nous sommes très satisfaits que la CCCB ait compris l’intérêt pour Castelmaurou de rester dans une intercommunalité ou elle a toute sa place même si les élus d’aujourd’hui ne veulent pas s’y asseoir. Il a d’ailleurs été noté dans la délibération du conseil communautaire en date du 14 juin : « les différentes études lancées par la CCCB et qui concernaient Castelmaurou ont toutes été abandonnées à la demande de la commune de Castelmaurou ».

Il est irresponsable, grave et pour le moins navrant que l’intérêt particulier, encore une fois, prime l’intérêt général.

Mais les élus passent, les structures demeurent et qui sait, demain, les excellentes relations et la coopération intercommunale d’antan, auront à nouveau droit de cité avec une nouvelle municipalité qui estimera par exemple qu’il aurait mieux valu ne pas refuser une crèche intercommunale gratuite à Castelmaurou, crèche que la CCCB construit désormais à Montberon, et ce n’est qu’un exemple…

 Notre association continue de se mobiliser et maintien sa pression auprès des tous les responsables décisionnaires y compris à la Préfecture, pour que M. Le Préfet prononce le statu quo en ce qui concerne la place de Castelmaurou dans la CCCB.

OdC


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10 juin 2011 5 10 /06 /juin /2011 21:15

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Publié le 09/06/2011 11:00 | Emmanuel Haillot

La crèche intercommunale ouvrira fin 2012 à Montberon

 

crecheMonberon.png
Comme la plupart des autres crèches de la CCCB, celle de Montberon accueillera une trentaine d'enfants.

C'est à la fois un beau projet et un pied de nez à un autre chantier qui n'a jamais vu le jour. Dans moins de six mois sera lancé, à Montberon, le chantier de la future crèche intercommunale. Porté par la Communauté de communes des Côteaux de Bellevue, le chantier devrait être terminé fin 2012. L'établissement accueillera alors une trentaine d'enfants et devrait créer une dizaine d'emplois. Mais au-delà du fait qu'il contribuera à palier un manque dans le domaine, il est aussi une petite victoire pour la présidente de la Communauté de communes, Sabine Geil, et la quasi-totalité des élus des villages qu'elle regroupe. La maire de Pechonnieu est en effet aujourd'hui tout sourire lorsqu'elle évoque ce projet qui avait capoté une première fois. Imaginé dès l'année 2007, c'est à Castelmaurou, sous l'ancienne municipalité et son maire Claude Giusti, qu'il devait voir le jour.

 

Architecture innovante

Les élections de 2008 ont cependant changé la donne puisque le nouveau maire, Magalie Schardt et son équipe ont mis un terme à cette idée d'établissement publique au profit d'une crèche privée, gérée par une association, aujourd'hui en fonctionnement. « On avait été très déçu mais on s'est dit que l'on ne baisserait pas les bras. Nous savons tous que la crèche publique coûtera moins cher au contribuable. La ville offre le terrain et nous n'avons pas de loyer à payer. La crèche de Montberon sera un bel outil et de surcroît, une installation qui prouve que le public a encore sa place chez nous ! », lance Sabine Geil.

C'est l'architecte Leornard Gagnon qui a été retenu pour cette crèche d'une surface d'environ 500 m2.

Construite au cœur du village de Montberon, elle est annoncée comme un projet qui s'intègre au paysage avec de nombreux aspect innovant comme ce toit végétal inédit. Bâtie aux normes basse consommation, elle sera également caractérisée par de vastes espaces et une exploitation minutieuse de la lumière du jour. « Cette crèche complétera l'offre déjà existante. Elle est indispensable car nous vivons sur un secteur qui se développe où vivent de plus en plus d'actifs », conclut Sabine Geil.

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15 mai 2011 7 15 /05 /mai /2011 18:03

 

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Dans un article de la Dépêche du Midi de ce dimanche 15 mai, il est fait référence à l’Association l’Observatoire de Castelmaurou et au journal « Entre les lignes » qu’elle publie.

Merci tout d’abord de l’attention particulière portée à nôtre association et de la promotion faites à notre journal qu’il est aussi possible de consulter sur le blog http://entre-les-lignes.over-log. fr .

Je vous invite par contre à relire « Entre-les lignes » d’avril qui ne répond en rien au catalogue des actions de la municipalité paru ces jours-ci, comme l’indique l’article  de la Dépêche, pour la seule raison que le dernier journal de l’association a été distribué le 18 avril et qu’il traite principalement de l’intercommunalité. Les réactions des administrés au bilan de la municipalité ont par contre été publiées récemment sur le blog dans la rubrique courrier des lecteurs.

      OdC

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13 mai 2011 5 13 /05 /mai /2011 13:20

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Vous venez de recevoir le bilan à mi mandat du conseil municipal et de son maire : huit pages de papier qui révèlent l’outrecuidance indécente d’élus sans action et sans vergogne.

Pour arriver à ce chiffre de 100 actions, il a fallu « racler les fonds de tiroirs », paraphraser et toujours mentir.

 

Par exemple, pour chacun d’entre nous, créer, c’est fonder quelque chose qui n’existait pas. Et bien, dans les « créations » on trouve pêle-mêle : site internet - bulletins d’informations annuelles (est-ce les informations qui sont annuelles ou les bulletins ? Dans ce dernier cas ils sont annuels !)– calendrier annuel des manifestations (là c’est bien le calendrier qui est annuel !)… Tout cela existait déjà, bien évidemment.

 

Et puis il ya les créations imputables à l’ancienne municipalité : sécurisation du carrefour de Lourmet, construction d’un restaurant scolaire et d’une bibliothèque scolaire – construction de deux nouvelle classes dans l’ancienne cantine - réfection du chemin Marine – mise en place d’agenda 21…

De la même façon, dans les actions annoncées, la encore, aucune nouveauté : organisation de réunions publiques (obligatoire dans le cadre du PLU par exemple) – mise à disposition d’agent de police municipale – opération prévention routière destinée aux enfants – renouvellement de marchés publics – équipement et décorations de Noël – permanence point emploi – plan de prévention des risques - suivi du plan canicule – recensement - (tous trois imposés la loi)…

 

Mais il y a aussi les actions de la Communauté de Communes des Coteaux Bellevue, pourtant décriées par Mme le Maire et qu’elle s’approprie : installation de défibrillateurs cardiaques – implantation de « récup’ verres » enterrés – opération « tranquillité vacances » – subvention à la crèche…

 

Qui plus est, pour faire du nombre, dans les actions citées, est inclus tout le fonctionnement normal d’une mairie : nettoyage des salles - réparation des panneaux municipaux – achat de panneaux routiers – entretien des infrastructures - aides aux associations - organisation des manifestions - même le recrutement des agents municipaux - le suivi de leurs carrières et de leurs rémunérations !!...

 

Par contre la « 34ème action », est intitulée « contribution à la construction de la crèche ». Quelle est cette contribution da la municipalité : un arrangement, une promesse, une contre partie… ? Il est dit en effet un peu plus loin que « cet investissement privé n’a bénéficié d’aucune aide financière publique » On voudrait juste comprendre. De toute façon cette affirmation de Mme le Maire est fausse puisque la CAF, la Communauté de communes, le Conseil Général subventionnent de façon conséquente l’association qui gère la crèche. Et puis se sont aussi les participations des parents qui aident au fonctionnement. Donc c’est toujours le contribuable qui participe et c’est bien une aide financière publique.

Alors, dire qu’une crèche intercommunale, telle qu’elle était prévu sur le village, serait une charge financière de 320 000 €/an relève du mensonge ou de l’incompétence ? Aucune crèche intercommunale de la Communauté de Communes des Coteaux Bellevue n’a cette charge. Et pour cause, les aides précitées représentent plus de 60 % du fonctionnement et seraient attribuées de la même façon à la structure.

La différence c’est qu’il n’y aurait pas le loyer mensuel de 4800 € à payer à un particulier comme actuellement, puisque les locaux appartiendraient à la commune. La participation des parents serait en conséquence bien moindre.

Décidemment l’ensemble du conseil municipal qui cosigne ces informations est bien ignorant et peut-être qu’une 101ème action sur la formation des élus serait la bienvenue ! 

 

Enfin une information, très succincte, sur l’intercommunalité en fin de document, probablement parce que nous en avions dévoilé l’existence dans « entre les lignes » d’avril 2011. Nous en reparlerons très bientôt.

OdC

 

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20 avril 2011 3 20 /04 /avril /2011 11:00

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FUMEES ou FUMER...

 

Nous avions mentionné sur notre blog, en décembre dernier, les désagréments qu’occasionnait aux riverains de la route de Moutou, le brûlage continu d’un feu chez M. Dal Cortivo. Nous nous interrogions bien évidemment sur la nocivité de ces fumées, non loin du centre médical de Montvert, et sur les conséquences pour l’environnement.

Les services de l’Etat, que nous avions avisés, ont convoqué l’intéressé et lui ont fait part des recommandations suivantes (cf extrait lettre du 3 février 2011 )

La municipalité a eu copie de ce courrier à l’association mais semble se désintéresser du sujet puisque M. dal Cortivo continue de brûler ses déchets verts sans la moindre remarque.

Il est vrai que Mme le Maire est mal placée pour faire respecter la loi quand elle-même ne l’applique pas ! Elle devrait pourtant savoir qu’il est interdit de fumer dans les lieux publics ou elle a été manifestement prise en flagrant délit ! Il faudrait au moins respecter les salariés.

Pour l’anecdote, M. Dal Cortivo, élagueur, est prestataire de services pour la mairie alors que des employés communaux sont spécialisés dans la taille des arbres. Encore des dépenses inutiles à moins que

O d C

 

Ci-contre extrait réponse des services de l'Etat

extrait rep dreal

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20 avril 2011 3 20 /04 /avril /2011 11:00

Toujours à l’insu de son plein gré…

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Mme le Maire de Castelmaurou, affirme diriger une municipalité sans étiquette politique.

Pourtant, après avoir été inscrite « sans le vouloir » sur la liste UMP pour les dernières élections régionales, liste arrêtée par les plus hautes instances de l’UMP :

« Xavier BERTRAND, Secrétaire Général du Mouvement Populaire, et Jean-Claude GAUDIN, Président de la Commission nationale d’investiture du Mouvement Populaire, informent que la liste suivante de candidats a été arrêtée par les instances statutaires de l’UMP pour les élections régionales des 14 et 21 mars 2010 dans le département de la Haute-Garonne »

et avoir été refusée par Mme Barèges, tête de liste et maire de Montauban :

« Désobéissant aux consignes de nos instances supérieures à Paris, Barèges vient de décider à sa seule initiative, de ne pas tenir compte des consignes de Xavier Bertrand et de Jean-Claude Gaudin, et de reformer une liste jugée « plus à son goût », et donc, dans le dos de nos instances dirigeantes ! »

Mme le Maire s’est retrouvée « par hasard », le 19 novembre 2010, à l’hôtel Palladia, pour participer à une soirée proposée par les « Ateliers Radicaux en Midi-Pyrénées » et où elle a vanté son action envers les jeunes de sa commune (et oui, nous cherchons nous aussi l’action envers les jeunes !) et son action écologique :

« Le 19 novembre dernier à eu lieu à Toulouse les ateliers Radicaux pour la région Midi-Pyrénées. Cette soirée fut un succès puisque plus d'une centaine d'adhérent ou sympathisants du parti de Jean Louis BORLOO se sont réuni autour de Laurent HENART, Secrétaire National du Parti Radical et des différents intervenants de cette soirée »

« Mme Magali SCHARD,Maire de Castelmaurou nous brosse un panel factuel des actions concrètes qu’elle a ou va entreprendre dans sa commune pour l’écologie »…ajoute « Malgré l’intercommunalité qui ampute le maire de certaines prérogatives, il est possible d’agir dans ces domaines…Planter des arbres, faire coexister les initiatives publiques et privées. Enfin, toujours faire participer la population ».

Nous n’avons rien contre l’engagement politique de Mme le Maire de Castelmaurou et de la municipalité qu’elle dirige. Mais arrêtons de se ficher des administrés en clamant à qui veut l’entendre que la Maire et son conseil municipal n’ont aucun engagement politique. Malgré tout, attention aux amputations !!!

Toutes ces informations sont issues des sites internet du parti radical.

OdC

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20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 20:30

Alors que trois salariés des ateliers sont spécialisés dans l’aménagement des espaces verts, la municipalité a fait appel à une société privée pour « caillouter » le rond point près de l’école. Cela faisait plus d’un an qu’il était en friche, sûrement par faute de moyens…

Il en est de même pour celui de la poste dont l’aménagement a attendu plusieurs mois. Résultats un superbe mur en parement de briques pour apposer la croix du Languedoc. On respecte l’excellent  travail de l’employé des services techniques mais il aurait pu mettre son talent à d’autres tâches si on le lui avait demandé.

L’O.d.C

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20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 20:30

MR900434375La municipalité a, en partie, financé avec les deniers publics l’apéritif offert lors de l’inauguration de la crèche privée. Dans ces commentaires Mme le maire parle de projet très controversé mais elle a omis de dire pourquoi. Alors disons-le : Castelmaurou aurait pu avoir, pour un euro, un bâtiment communal pérenne qui aurait abrité une crèche entièrement financée par l’intercommunalité. A la place nous avons une crèche associative logée dans un bâtiment privé pour lequel est versé un loyer à fonds perdu…mais par pour tout le monde… ! C’est juste un détail.

Les autorités absentes à cette manifestation, l’ont bien compris.

L’O.d.C

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20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 20:30

  d-menti

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20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 20:30

L’Observatoire de Castelmaurou : Monsieur BEYNEY, en votre qualité de Président du syndicat DECOSET, nous avons souhaité vous entendre sur l’abandon du projet d’implantation d’une unité de compostage de déchets verts dans la zone Est du département, projet dont M. Le préfet vient de déclarer qu’il n’était pas d’intérêt général. Pour commencer, y a-t-il eu, comme le dit Mme le Maire de Castelmaurou dans la dépêche du Midi du 1er octobre, « une autorisation de terrain » donnée en 2002 par l’ancien maire et si oui dans le cadre de quelle compétence ?

 

Le Président de DECOSET : la nécessité de créer un second centre de compostage était déjà actée lors de l’assemblée générale du 20 mars 2000, c’est à dire avant même l’élection de Claude GIUSTI, ancien maire. Après de multiples péripéties, notamment l’échec de Verfeil, et devant la nécessité de traiter les déchets verts au plus près de leurs collectes, le 22 juin 2004 le syndicat décide de confier à un cabinet indépendant, une étude de prospection foncière. Rien n’était donc réglé en 2002.

 

L’Observatoire : comment a procédé ce bureau d’étude et combien de communes étaient pressenties par cette implantation ?

 

Le Président : le cabinet d’étude avait pour objectif, la recherche de tous les terrains potentiels sur le périmètre de DECOSET avec un accord de principe des municipalités pour poursuivre l’étude. Ainsi 40 communes ont été ciblées, 17 répondaient à la faisabilité administrative, puis 4 satisfaisaient aux critères techniques et enfin pour le secteur EST, 2 communes étaient retenues, CASTELGINEST et CASTELMAUROU. C’est le 28 juin 2007 qu’à l’unanimité, les délégués choisissent le site de Castelmaurou. Les services de l’Etat et l’ADEME ayant validé l’étude, restait à connaitre la décision du Préfet pour lancer l’enquête publique et ainsi communiquer sur le projet

 

 L’Observatoire : Quels étaient les risques de nuisance éventuels induits par une compostière de déchets verts ?

 

♦  Le Président : j’ai emmené une délégation d’élus des communes opposées au projet, Castelmaurou, Garridech, Laeyrouse Fossat, visiter des sites existants de compostières. Ils ont reconnu l’absence complète de nuisance. J’ajoute que le type de structure envisagée par DECOSSET était à la pointe du processus de compostage, entièrement traité en milieu fermé. Par ailleurs on prenait en compte les principes imposés par la loi « Grenelle 2 » notamment en réduisant radicalement les émissions de gaz à effet de serre et en traitant les déchets au plus près de leur lieu de production.

 

 L’Observatoire : Qu’aurait pu apporter à Castelmaurou et à ses habitants d’une part et à la Communauté de Communes des Coteaux Bellevue d’autre part, l’implantation d’une compostière de déchets verts ?

 

♦  Le Président :la Communauté de Communes des Coteaux Bellevue avait demandé que tous les terrains en bordure de la RD 20 vers Gragnague fassent l’objet d’une affectation permettant l’implantation d’une zone d’activité source d’emplois et de revenus. L’unité de compostage de déchets verts était la « tête de pont » du développement de cette zone aujourd’hui neutralisée pour un moment. L’activité économique de Bessières s’est développée avec succès sur ce schéma, autour de l’unité de traitement des déchets ménagers.

 

L’Observatoire : quel est votre sentiment face à cette situation et quelles sont les conséquences de ce refus de M. le Préfet pour le traitement des déchets verts dans le secteur ?

 

Le Président : je reprendrai les propos de M.ANDRE, maire d’Aucamville, qui se définit lui-même comme un écologiste de raison, et qui déclarait lors de l’assemblée générale du 25 juillet 2008 : « il faut considérer comme une chance d’avoir une telle installation sur sa commune eu égard à la valorisation des déchets verts sous forme de matière première et à l’amélioration du bilan carbone à laquelle elle contribue ».

Je déplore la désinformation menée à Castelmaurou et les mensonges propagés. Le traitement des déchets verts est un véritable problème pour DECOSSET. Avec ce refus qui va à l’encontre de la loi sur l’environnement, nous ne savons pas ce que nous allons faire ni sur quoi s’orienter.

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